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AXE III

Axe III – Favoriser un fonctionnement
au service de l’épanouissement de tous
 

Il est temps de  « Boostez l’activité cognitive de nos élèves »…

Pour la 5ème année, Sainte Geneviève propose aux professeurs un parcours de formation intitulé « Booster l’activité cognitive de nos élèves ».

Parce que les enseignants consacrent une énergie considérable, parfois exténuante, à mettre les élèves au travail,

Parce que les enseignants perdent beaucoup trop de temps à reprendre ce qui n’est pas acquis d’une année sur l’autre,

Parce que les élèves ne savent pas – ou peu – comment faire dans leur tête, avec démotivation et démoralisation en fond de toile,

Parce que les neurosciences nous rappellent les bases d’un fonctionnement cognitif optimisé,

Au cours de la formation, les enseignants sont invités à découvrir comment eux-mêmes font « dans leur tête » quand ils sont attentifs ou quand ils réfléchissent. Par des exercices mis en commun, ils découvrent également d’autres façons de faire et enrichissent ainsi leur pratique. Enfin, avec l’utilisation d’un simple sablier, assorti d’une mise en œuvre précise, répétée et bien rôdée, ils créent en classe des rituels cognitifs vertueux.

La pensée nécessite que les besoins fondamentaux : “boire-manger-dormir-se sentir en sécurité” soient satisfaits. Elle a également besoin de silence. Silence relatif, bien sûr, nous ne vivons pas sous cloche. Moins de bruit, moins d’écran : le moins permet le plus… intérieur, la pensée se déploie, les apprentissages se fluidifient, peut-être même que la joie d’apprendre sera au rendez-vous….

Alors si vos enfants vous parlent d’expérience bizarre en classe, avec un professeur qui sort un sablier et s’assoit pour souffler et gagner quelque énergie, réjouissez-vous et échangez avec lui sur cette drôle de façon de faire et ce que ces minutes de silence l’autorisent à faire, « dans sa tête », pour mieux apprendre.

Fabienne de Germay, fondatrice de Amaraya.fr

Favoriser un fonctionnement au service de l’épanouissement de tous, axe 3 du projet d’établissement, c’est bien cela que doit assurer un règlement intérieur.

En octobre dernier, une équipe composée de parents, d’enseignants, de membres de la vie scolaire, d’adjoints et d’élèves s’est réunie pour mener une réflexion sur le sens d’un règlement intérieur. Ce groupe de travail est accompagné par Hadjira Abdoun, formatrice au CEP-ignatien.

Chacun avait lu les 3 règlements intérieurs qui structurent aujourd’hui la vie dans l’établissement pour les élèves. Chacun est arrivé avec son idée de ce qu’il souhaitait faire évoluer : qui les modalités d’absence, qui la tenue vestimentaire, qui la longueur des règlements, qui le nombre de règlements…

Cette première rencontre, qui sera suivie de quatre autres, avait pour but premier de nous mettre d’accord sur ce que le mot autorité signifie aujourd’hui, sur ce qu’est et n’est pas un règlement intérieur.

Nous avons notamment convoqué le sens premier du terme « autorité » : auctoritas.
Ce terme fait donc référence à l’Auctor, celui qui créé et qui augmente la puissance de vivre et de grandir. Les adultes ont souligné la façon suivant d’être auteur : être auteur de situations d’apprentissage ou l’élève peut construire son esprit critique.
Force est de constater que dans le sens commun, l’autorité est souvent associée à l’interdit, alors que son verbe est AUTORISER.

La question qui se pose alors est celle de savoir comment avoir une autorité qui autorise pour faire grandir.

Tous les membres ont travaillé par petits groupes sur ces questions et en on fait une première synthèse.

Nous sommes tous repartis avec du travail avant notre prochaine rencontre le 21 décembre. Dans ces travaux, il y a notamment un sondage rapide sur les questions d’autorité et de valeur.

L’objectif de ce groupe de travail est de finaliser le fruit de notre réflexion par une production concrète au mois d’avril 2024. D’ici là, n’oubliez pas de lire le règlement intérieur avant qu’il ne change pour la rentrée prochaine !

Ségolène de Ponnat, Chef d’établissement 2nd degré

Mardi 3 octobre, nous sommes allés en sortie scolaire à HAPIK à Nanterre Université en train. Notre classe était accompagnée par des parents : le papa de Rose, le papa d’Alistair, la maman d’Adélaïde et la maman d’Isalys.

Hapik est une grande salle d’escalade, où il y a beaucoup de murs. On y trouve aussi deux parcours d’accrobranche, un plongeoir de 10 mètres, un toboggan, des cubes et les escaliers de bambou.

Les murs avaient différents niveaux matérialisés par un code couleurs. Il y avait des murs plus hauts que d’autres, il y avait des prises différentes (ballons de foot, chaussures, carrés de couleur, planètes, dominos…).

Pour pouvoir faire les parcours d’accrobranche, il fallait mesurer au moins 1m30 et avoir fini trois murs d’escalade. Un animateur d’Hapik nous mettait un baudrier pour nous sécuriser.  Le premier parcours, moins haut était plus facile que le deuxième parcours. Il y avait des tyroliennes dans les deux parcours d’accrobranche.

Le but du plongeoir était de monter jusqu’en haut du mur, puis de sauter dans le vide pour toucher la boule.

Pour monter dans le toboggan, il fallait monter des escaliers ou des plateformes. Le toboggan était en forme de spirale et de couleur rouge. Si on n’était pas bien positionné, on se retrouvait à l’envers !

Les cubes étaient des blocs de mousse très mous. Il fallait empiler les cubes et monter dessus sans tomber.

Les escaliers de bambou étaient des barres vertes de plus en plus hautes sur lesquelles on devait monter et marcher sans tomber. Le but était d’arriver sur le bambou le plus haut et sauter dans le vide.

Pour tous les murs, nous étions accrochés à des câbles ralentisseurs qui servaient à amortir la chute.

Nous avons passé un moment génial à HAPIK. Nous étions libres de faire ce qu’on voulait. Nous nous sommes beaucoup amusés mais c’était fatiguant. Nous nous sommes défoulés comme des fous 😊

Récit élaboré par les élèves de CE2D en collectif